«En 2022, j’ai déménagé en Valais et j’ai changé de cabinet de gynécologie. Le contrôle annuel a coûté 230 fr. Soit 30 fr. de plus, sans différence dans les prestations facturées», s’étonne cette lectrice de Savièse. L’analyse de la première facture révèle qu’elle a été reçue l’année précédente par une gynécologue qui avait un titre de médecin praticien, passé dans un pays de l’UE. Ce détail entraîne une pondération de 0,93% de la valeur du point Tarmed. En 2023, c’est une gynécologue diplômée en Suisse qui l’a examinée, sans pondérer le décompte cette fois. Ce coefficient figure sous la rubrique «fPM» de la facture. Comme les médecins doivent désormais envoyer une copie de la note au patient, on peut la regarder attentivement et en parler avec son praticien si on ne comprend pas tout.