On ne suit pas une psychothérapie pour le plaisir. Et, quand on a trouvé la bonne personne, il est difficile de se confier à un autre spécialiste ou de mettre fin au traitement. Le changement législatif intervenu le 1er juillet dernier bouleverse pourtant les modalités de remboursement, avec des conséquences massives pour les assurés. Au risque, comme en témoigne Clémence, d’être obligée de cesser son tra...